«… contribuer à la réalisation des objectifs généraux et spécifiques du présent accord par la conservation, la protection, le maintien, la restauration et l’amélioration de la résilience des espèces indigènes et de leur habitat, ainsi que par le soutien des services écosystémiques essentiels ».
Engagements clés
Le Canada et les États-Unis conviennent de faire ce qui suit :
Effectuer une enquête initiale de l’habitat existant à partir de laquelle il sera possible de mettre sur pied l’objectif d’un gain net d’habitat à l’échelle de l’écosystème du bassin des Grands Lacs et de mesurer les progrès futurs.
Dans un délai de deux ans, mener à terme l’élaboration de stratégies de protection et de restauration des habitats et des espèces panlacustres.
Évaluer les lacunes dans les programmes et initiatives actuels binationaux et nationaux en vue de conserver, de protéger, de maintenir, de restaurer et d’améliorer les espèces indigènes et l’habitat en guise de première étape dans l’élaboration d’un cadre binational pour l’établissement des priorités des activités.
Faciliter des actions collaboratives à l’échelle binationale visant à réduire la perte d’espèces indigènes et de l’habitat, à rétablir les populations des espèces indigènes en péril et à restaurer des habitats dégradés.
Renouveler et renforcer les actions collaboratives à l’échelle binationale visant à conserver, à protéger, à maintenir, à restaurer et à améliorer les espèces indigènes et l’habitat.
Accroître la sensibilisation à l’égard des espèces indigènes et de l’habitat et des méthodes visant à protéger, à préserver, à maintenir, à restaurer et à améliorer leur résilience.
Effectuer des recherches et de la surveillance au besoin afin de mettre en place des mesures de prévention qui tiennent compte des impacts des changements climatiques et d’autres facteurs de stress, et améliorer la résilience des espèces et des habitats indigènes.
Tous les six mois, les progrès par rapport à cette annexe sont rapportés aux réunions du Comité exécutif des Grands Lacs. Les réalisations seront décrites dans le rapport d’étape des parties tous les trois ans, le premier étant attendu en 2016. Des aspects de cette annexe peuvent être mis en œuvr e et faire l’objet de rapports selon l’annexe sur l’aménagement panlacustre.
Ministère des Richesses naturelles et des Forêts de l’Ontario
Parcs Canada
Corps of Engineers de l’armée américaine
Environmental Protection Agency des États-Unis
U.S. Geological Service
U.S. National Parks Service
Wisconsin Department of Natural Resources
Un sous-comité élargi met à contribution d’autres organisations et experts au-delà des membres du CEGL.
Au besoin, des équipes de travail temporaires peuvent également être créées pour concentrer leurs efforts sur un enjeu ou un projet prioritaire seront créées et dissoutes une fois le travail terminé.